quelques poésies et images que j'aime.
Vagues
Vagues qui divaguent
Vagues qui tuent
Vagues qui dévastent
Vagues qui terrifient
Orphelins les yeux dans le vague
Blessés survivants des vagues
Rescapés des vagues
Meurtris par les vagues
Vagues loin du plaisir
Vagues de souffrances
Vagues de mort
Vagues maudites
Vagues de solidarité
Vagues de générosité
Vagues d’espoir
Vagues pleines d’espérance
belle rose, à peine éclose, pourquoi es tu si morose.
Je t'observe par mon regard et par mon sourire avec plein de petits mots gentils.
Tu es la rose rouge resplendissante comme une lumière étincelante par ta beauté, reflétant au soleil.
Tu es là, pour réchauffer le coeur dans ta tendre couleur, aux formes gracieuses en toucher de velours et à tes pétales parfumés.
Tu es le symbole de l'amour, de l'amitié, en reine des fleurs comme deux coeurs remplis de fraîcheur.
Donnant de la tendresse que l'on garde dans ses rêves pour ne pas te quitter.
j'adore cette photo !!!
Chercher le bonheur et le trouver,
se laisser guider tout en douceur,
comme cet oiseau au multiples couleurs donnant un but à notre existence.
Quoi de plus beau et de plus naturel que la véritable sagesse,
rien n'est le fruit du hasard,
on reçoit des messages de l'univers pour vivre en parfaite harmonie,
en nous sont les les clés du bonheur.
Tu es parti
Rejoindre une étoile
Toi qui l’étais déjà
Désormais tu as rejoins
Ces anges
Meurtris par la maladie
Par la guerre
Par des monstres
Tu seras la petite
Etoile qui passera
Telle une étoile filante
Et veillera sur tes parents
Toi qui les aimais tant
Comme une fleur sous un volcan.
Comme un poème sensible au vent.
Qui surgit, passe, ressent et puis enfle.
Que rien, que tout, pourtant lui semble.
Inaccessible au point d’être vibrante.
Avec au cœur, cette petite voix charmante.
Au visage illuminé de perles méditerranéennes
qui s’embrument plus vite que les miennes.
Ses gestes infimes s’accrochent aux siens
de peur d’une bourrasque ne les retient.
Qu’un rien l’exalte, qu’un rien l’attriste.
Dans la vie tout l’embrase, la pluralisme.
En attente, sensible aux découvertes.
Dans la vie, personne, ni rien ne l’arrête.
Elle reste avide de sourire, de promesses.
C’est une femme, une amie tendresse.
Et oui, tout sauf le vin l’enivre.
Parfois tel un bateau, chavire.
Pour renaître encore une fois,
vers le futur rempli de foi.
L'Aigle
L'aigle tournoie dans le ciel orageux.
Je contemple cet oiseau merveilleux.
Il transperce des nuages noirs
Autant épais que mille mirroirs.
Son voyage est interrompu
Par quelque mulot impromptu.
Très vite, il redescend,
L'ogre assoiffé de sang.
Il observe d'un oeil profond,
A travers les branchages,
Ce petit monde en perdition,
Ce train sans aiguillage.